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« Parce que la honte n’est pas mon fardeau » : pourquoi le refus du huis clos est de plus en plus fréquent dans les procès pour viol

A l’image de Gisèle Pelicot, et de plusieurs victimes de Joël Le Scouarnec, un nombre croissant de plaignantes renoncent à leur droit à un procès interdit au public. Un acte militant qui vise à ce que la honte change de camp.



Victimes de violences sexuelles refusent de plus en plus le huis clos lors de leurs procès, comme l'a fait Claudine il y a quarante ans et Océane en 2023. Elles rejettent l'idée que la honte soit leur fardeau, cherchant à inverser la stigmatisation et à responsabiliser les auteurs des crimes.

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